Le 1er décembre débuteront les Assises du commerce. A travers une consultation citoyenne, les Assises du commerce entendent rassembler les acteurs du commerce sur l’ensemble du territoire français : petits ou grands, urbains ou ruraux, physiques et mêmes numériques.

Le localisme à l’honneur aux Assises du Commerce
L’objectif est de faire naître une vision stratégique, afin de répondre aux quatre principaux défis que le secteur doit relever très prochainement sur l’ensemble de notre territoire. Il s’agira de trouver des réponses :
- Comment adapter le commerce aux nouveaux modes de consommation ?
- Mais aussi, comment préserver et développer le commerce dans les territoires ?
- comment renforcer l’équité entre les acteurs et leur compétitivité ?
- Et, comment favoriser l’emploi dans le commerce ?
Pour répondre à ces questions, plusieurs acteurs comme des chefs d’entreprise, des associations et regroupements professionnels et syndicaux, des élus locaux, des parlementaires, des universitaires et des associations de consommateurs analyseront et entendent travailler ensemble pour partager leur constat et formuler des solutions opérationnelles au service du dynamisme économique des territoires.
Pour participer à la consultation c’est par ici

Dynamique post-Covid et commerce de proximité
Si 2020 a été une année clef pour le commerce. Les français ont redécouvert les commerces de proximité. Les grandes enseignes investissent d’ailleurs ce créneau et tendent d’acheter des commerces de proximité dans les centres-villes. Les pouvoirs publics et les collectivités locales ont d’ailleurs mis à la main à la poche pour accompagner la digitalisation des TPE-PME.
La tendance communautaire : un nouveau marché
Au-delà du localisme, on remarque que les consommateurs recherchent de plus en plus des produits dont l’origine est garantie. Mais pas forcément des produits qui viennent de leur région. Ainsi, de plus en plus d’entreprises surfent sur cette vague, à l’instar de Maison Felger (chaussures made in france personnalisables) ou encore Djoloo qui propose des produits authentiques africains. Bref, quelle que soit la provenance, le « made in » a toujours la côte !